Les Mosquées, Sociétés commerciales MARL pullulent en France et en Europe et les Musulmans sont en voie d’extinction. En France [et dans le monde], il y a beaucoup plus de mosquées que de Musulmans. Incapables d’investir dans l’Homme intellectuel, l’Homme culturel, l’Homme humaniste, les actions des Antésulmans sont à l’image de la religion qu’ils professent, l’Antislam, qui est vide de sens, stérile et sans aucun intérêt que ce soit pour l’Humanité entière ou civilisationnel.
Les Antésulmans Arrivistes Opportunistes Affairistes ou AAOA ont très bien compris que l’Islam est un remarquable business capable de les installer à l’abri des tracasseries financières eux des loqueteux balourds et incultes mais ô combien « démoniaques ». Ils ont parfaitement compris aussi que ce qu’ils ont en face d’eux ne sont pas des Musulmans, tout juste des Antésulmans, mais à coup sûr des clients niais, inintelligents mais grands consommateurs d’Antislam. Leurs produits les mieux commercialisés sont tous les articles attraits au label « halal » (viande, produits agro-alimentaires et même l’eau), vêtements et accessoires moyenâgeux, pèlerinage chez les Wahhabites Saoudiens pompeusement dénommé « lieux Saints », livres antésulmans stupides, conférences hautement abrutissantes antésulmanes, conversions moyennant finance, etc.). La plupart de ce type de trafics s’effectue dans la place boursière, le « Wall Street des Antésulmans » : « la Mosquée ». Celle-ci est un no mans land inquiétant où sévissent les AAOA. Pour d’autres, la mosquée est devenu le symbole de l’antre de la bête où viennent s’abreuver les obtus.
Une Mosquée à Responsabilité Limitée ou MARL est une forme ambiguë de Mosquée sous couvert du statut Association Culturelle et/ou Cultuelle, c’est à dire juridiquement à but non lucratif. La MARL a d’autres branches d’activités et notamment celles de faire des profits par la création de Société Civile Immobilière ou SCI. Quoi qu’il en soit, son véritable statut est celui d’une Mosquée commerciale à responsabilité limitée où la responsabilité est limitée aux apports quasi nuls que le groupe de businessmen AAOA met en gage mais ne prend pas en compte la manne financière récoltée par divers moyens : quête dans la moquée le vendredi, récoltes journalières dans les caisses « noires », ramassage financier dans d’autres mosquées, les donateurs par tout moyen de payement (espèces, chèques, virements bancaires, etc.), les subventions de l’État français (commune, région, etc.), les émirs des monarchies du Golfe, enfin, un partenariat avec certaines Associations des requins de la finance comme l’Union des Organisations d’investissement de France. Ainsi, la MARL ne présente aucunement les caractéristiques de la Mosquée de personnes, notamment parce que les parts détenues dans le capital sont librement cessibles sans accord de tout ou partie des associés.
Le droit français [ou européen] ne régit aucunement cette nébuleuse MARL quant à sa constitution et à son fonctionnement. La situation embrouillée, la confusion de son statut juridique lui évite des dispositions pénales établissant la liste des infractions concernant cette forme sociétaire.
Son mode de gestion qui est de loin plus simple que celui d’une Mosquée Anonyme [MA]. La MARL est gérée par un Patron, qui doit tenir au moins une fois par an une assemblée générale des associés businessmen afin d’étudier tous moyens afin de fructifier l’Entreprise MARL.
En France, on compte aujourd’hui des centaines de MARL dont la plupart est fédérée sous le Patronat de l’Union des Organisations des Investisseurs de France – UOIF -, ce qui correspond aux deux tiers de toutes les Mosquées commerciales françaises. La MARL est particulièrement adaptée pour les petites et moyennes mosquées-entreprises.
Les associés de la MARL perçoivent des indemnités confortables, plusieurs milliers d’Euros mensuel et des avantages comme l’acquisition de matériel hi-tech, véhicule de fonction, frais de déplacement, etc. Naturellement, ils se partagent les bénéfices et cela sans aucun investissement financier préalable ; tout juste un peu de leur temps, beaucoup de verbiages et énormément d’hypocrisie. La clé de la réussite de ses requins de la finance, pour certains à la limite de l’illettrisme, est qu’ils n’ont jamais étudié les rudiments de l’économie, de la finance ou de la gestion d’entreprise mais ô miracle, ils détiennent un compte en banque bien garni, ils sont à l’abri du besoin et ils vivent dans l’opulence. Qui a dit que brandir le slogan de l’Islam et de la générosité des musulmans n’est pas rentable ? Ce ne sont sûrement pas les AAOA qui tirent leur épingle du jeu et profite du Système.
Tous les « Shayātīn » ou « Semeurs de désordre » ont toujours, et cela de tout temps, réussi à faire des profits en utilisant le Système actuellement en vigueur qui se nourrit de la peur des gens (musulmans et population d’accueil), du climat problématique socioéconomique, de la perte des valeurs humaines et des repères civiques, de la dérive spirituelle et de la consommation à outrance.
Un autre business occulte qui se sert de la clientèle des mosquées est celui de négocier et de renchérir sur les voix électorales moyennant pour les AAOA certains privilèges ou prérogatives que les élus locaux pourraient leur offrir. Ce type de transaction est particulièrement rôdé lorsqu’il s’agit des instances étatiques des pays d’origine des AAOA. Les AAOA utilisent avec dextérité l’épreuve de la Tradition [« Hadiths »] ou Sunnisme pour maintenir leurs clientèles des mosquées dans un abrutissement sans issu, un état de ruine intellectuelle et spirituelle comme le font admirablement leurs partenaires économiques gouvernementaux de leurs pays d’origine. En conséquence, les Antésulmans de la diaspora [Europe, Amérique du Nord] seront formatés de la même manière que leurs compatriotes dans leur pays d’origine. Ces derniers seront considérés comme la lie de l’Humanité, incapables d’une quelconque élévation spirituelle, culturelle, socioéconomique ou civilisationnelle. Les AAOA le savent, les tenants du Système en place le savent, les gouvernements des pays d’accueil le savent, les tyrans de leurs pays d’origine le savent, sauf la clientèle des MARL en particulier et les Antésulmans en général. En bref, tout le monde est au courant sauf les principaux concernés.
A force de manger du mouton, les Antésulmans sont devenus comme eux, des moutons que conduit lourdement tout bélier AAOA !