Quelques preuves ou faits irréfutables de l’inexistence des sciences et des savants grecs
« Tirer des lois générales d’une observation des phénomènes naturels est inconcevable si la conception intellectuelle du monde est figée dans la mythologie, la superstition ! » [1]
1. Pensée, culture et société grecques strictement mythologiques, superstitieuses, magiques et légendaires à l’instar de toutes les autres sociétés antiques.
2. Aucune preuve, aucun vestige, ni aucun débris historique ou archéologique n’a pu être exhumé ou découvert concernant un quelconque document écrit, iconographique [peinture, sculpture, gravure, etc.] ou oral démontrant l’existence d’une quelconque science ou savant grecs.
3. Aucun souvenir, aucun signe, aucun témoignage, aucune trace, manifestation écrite, artistique ou orale n’est parvenue à aucune autre société antique pourtant voisine de la Grèce comme Rome, l’Egypte, la Perse, Carthage ou la Phénicie relatif à une quelconque science ou savant grec alors que diverses relations existaient : échanges diplomatiques, culturels, économiques ou même militaires [soi-disant Alexandre le Grand qui a supposé, selon les « spécialistes » de l’histoire avoir conquis une grande partie du monde méditerranéen et oriental -Inde, par exemple-]. De plus, l’héritière directe de la pensée et de la culture grecque qu’est Rome n’a jamais signalé une quelconque culture scientifique ou savante grecque alors qu’elle a conquis une grande partie du monde.
4. Bizarrement et soudainement, à partir du IXe siècle, se découvrent, se révèlent et se développent comme par miracle des écrits scientifiques et des savants grecs sous la plume des traducteurs et copistes latins alors même qu’une politique systématique de traduction et de copie en version latine et grecque d’ouvrages scientifiques et littéraires de savants musulmans apparaît dans les scriptoriums de toutes les abbayes, les monastères, et prieurés de la chrétienté. Puis cette politique de traduction et de copie devint une institution à la Renaissance.
5. A partir de cette date [IXe siècle], un travail de falsification et de fabrication d’une culture scientifique et savante établissent une continuité culturelle et savante entre l’Antiquité gréco-romaine et le Moyen-Age chrétien. Tout cela n’est-il rien d’autre qu’un incommensurable plagiat que les copistes-traducteurs attribuèrent aux savants grecs fraîchement inventés ? Quoi de plus simple que de corrompre en inventant et en rajoutant aux documents originaux des savants musulmans des termes et des noms grecs. Il suffit d’étudier par une critique textuelle les documents originaux des savants musulmans pour s’apercevoir qu’il n’existe aucune allusion aux prétendus sciences et savants grecs. Tout simplement parce ces derniers n’ont jamais existé !
[1] Nas E. Boutammina, « Les contes des mille et un mythes – Volume I », [Edit. Originale 1 vol. août 1999]. Edit. BoD, Paris [France], juillet 2011, 2e édition février 201.
Nas E. Boutammina, « Les contes des mille et un mythes – Volume II », [Edit. Originale 1 vol. août 1999]. Edit. BoD, Paris [France], novembre 2011, 2e édition février 2017.
Nas E. Boutammina, « Comprendre la Renaissance – Falsification et fabrication de l’Histoire de l’Occident », Edit. BoD, Paris [France], août 2013, 2e édition avril 2015.
J’ai moi-même de mon côté un peu étudié le sujet, questionner des spécialistes sur les questions et affirmations de l’auteur et c’est vrai qu’il y a quand même un grand vide et une absence de preuves de la science des grecs qui laissent place à l’imagination, des hypothèses ou tout simplement une réalité.
Une réalité qui serait que notre héritage est islamique et non grec…